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La Flamme d'Amour du Cœur Immaculé de Marie
9 mars 2019

ENSEIGNEMENTS 1969 - 1981

LES ENSEIGNEMENTS DE JÉSUS, DE LA VIERGE MARIE ET DE L’ANGE GARDIEN

11 juillet 1975

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PREMIER ENSEIGNEMENT :

-         « Mes enfants, nombreux sont ceux qui souffrent, pour ainsi dire, captifs et aveuglés par les choses matérielles. De nombreuses personnes, malgré leur bonne volonté, ne peuvent se rapprocher davantage du bon Dieu parce que les biens matériels se dressent comme un mur entre Dieu et l’âme. Parmi vous aussi, il y a des âmes bien intentionnées qui font de temps à autre de grands sacrifices; cependant, elles ne peuvent recevoir ces grâces particulières qu’elles désirent, parce que les biens ou les intérêts matériels les maintiennent aveugles. Ces âmes reçoivent sans interruption les inspirations de ce qu’elles doivent faire, mais elles ne veulent pas croire que cette initiative leur vient de Dieu, de leur ange gardien ou de leur saint patron. Le Père Céleste ne désire pas que ces personnes, nous tentions de les convaincre ou de les influencer d’une quelconque façon parce qu’Il attend d’elles le renoncement volontaire. Et aussi parce que la Providence divine, la délicatesse divine considère que l’intéressé ne pourrait, en dépit des conseils, renoncer et pourrait même pécher par méfiance. »

SECOND ENSEIGNEMENT : JC :

-         «Si quelqu’un renonce à un bien propre, qu’il ne le donne pas là où son nom comme donateur sera commémoré pour toujours et brillera pour sa propre gloire, mais qu’il le fasse sans être remarqué, dans l’anonymat, parce que c’est seulement ainsi que le Père des Cieux pourra le récompenser. Car celui qui fait le bien d’une manière remarquée a déjà reçu sa récompense ici sur la terre.»

TROISIÈME ENSEIGNEMENT : D’Élisabeth :

-         «Pour les enseignements et les inspirations du Seigneur Jésus (de Dieu Esprit Saint), la Flamme d’Amour de la Très Sainte Vierge prépare en nos âmes le chemin. Si nous faisons allusion à la flamme d’Amour, le Seigneur Jésus illuminera notre intelligence pour savoir ce que nous devons faire, par exemple, laquelle entre deux choses est la plus parfaite, laquelle est la volonté de Dieu. Celui qui reçoit cette lumière, qu’il la suive, qu’il la transmette aux autres, et qu’il en prenne soin comme nous prenons soin d’une fleur, qui, si elle n’est pas arrosée et n’est pas soignée, se couvre de poussière ou se fane. »

QUATRIÈME ENSEIGNEMENT :

-         « Aimez beaucoup le bon Dieu. Aimez-le davantage chaque jour ! Le Père des Cieux dit : Dans la mesure où vous M’aimez, en cette même mesure le monde se libérera du péché et des malheurs. Vous êtes responsables les uns des autres ! Vous êtes responsables de votre famille, de votre patrie, du monde entier ! Que tous se sentent responsables du sort de toute l’humanité ! Voilà ce que vous devez transmettre les uns aux autres : «Dans la mesure où vous M’aimez, dans la même mesure vous recevrez mes inspirations aussi.»

-         SV :

-         - « Je vous concède à tous la grâce de voir le résultat de vos travaux en faveur de ma Flamme d’Amour, tant en chaque âme comme en votre pays et dans le monde entier. Vous, qui vous dépensez et faites des sacrifices pour la prompte effusion de ma FLAMME D’AMOUR, vous allez parvenir à la voir ! »

ÉLISABETH DÉCIDA DE JETER AU FEU LES ÉCRITS MAIS JÉSUS PARALYSA SA MAIN

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(Note : La communication qui suit, nous ne la tirons pas des notes du Journal Spirituel. Cette confession est tirée d’une lettre de l’élue de Dieu a une de ses connaissances, le docteur N, en 1977. L’authenticité de cette communication est prouvée par le style si personnel : tournure de mots, l’originalité des images ...).

À l’été de 1969, les tourments des doutes me saisirent tellement, en ce sens que tout ce que j’ai écrit jusqu’alors ne vient pas de Dieu, ce sont des griffonnages de ma part. Cette pensée ne me laissait pas tranquille, et c’est pour cela que j’ai pris la décision dans mon for intérieur : je vais me libérer de ces tourments atroces si ce matériel (qui formait déjà plusieurs cahiers) je le détruis dans le feu du poêle de ma petite habitation, qui était de 3 x 3 mètres et avec un plancher de terre. J’étais décidée et sur le point de le faire. Tout le matériel était dans mes mains, et moi prête à le déchirer et à le jeter au feu, quand le Seigneur Jésus paralysa ma main. Les communications du Seigneur Jésus me sont tombées des mains, et moi, désemparée, je me suis effondrée. Non seulement je n’ai pas pu allumer l’allumette, mais j’étais même incapable de bouger. C’est en cet état que me trouva ma fille aînée, Cécilia, quand elle entra à l’improviste. Elle m’enleva les cahiers des mains parce qu’elle comprenait quelle était mon intention. Quand elle me les arracha des mains, je retrouvai ma capacité et lui dis : Non! Non! Je veux les brûler, et je veux me libérer de ce tourment parce que je n’en peux plus. Ma fille, en apportant le matériel, retourna à son appartement (qui était dans la même maison) et moi, en recouvrant le mouvement de ma main paralysée, j’ai couru derrière elle et ramenai de chez elle les communications du Seigneur Jésus, avec encore l’intention de les brûler et de les détruire.

C’est ainsi que je revins à ma petite pièce, et m’agenouillai sur un genoux devant la porte du poêle. La paralysie des doigts de ma main se produisit de nouveau, comme la première fois. Devant le poêle, la totale incapacité d’agir tomba sur moi de nouveau. Alors je me rendis compte que ce que je voulais faire était incorrect, et qu’Il ne permettait pas (le Seigneur) que je détruise ses paroles, qu’il faut communiquer au monde.

J’AI EXIGÉ DE DIEU UN SIGNE

Au printemps de 1971, en me réveillant un matin, je me suis levée avec la torture terrible des doutes les plus effrayants. Je me préparais à aller à la sainte messe, mais à cause du tourment des doutes, je ne pouvais même pas me déplacer. J’ai pensé : pour quelle raison je vais à la sainte messe ? Si je ne reçois aucun soulagement, aucune paix de l’âme ! Et, malgré cela, je suppliais le Seigneur en le priant qu’Il débarrasse mon âme de cette confusion causée par les doutes. Qu’est-ce que j’ai en moi ? Je veux le voir, le savoir. Pourquoi me faut-il me tourmenter comme ça si cruellement ? Et si tout ça c’est vrai, c’est authentique et c’est la volonté de Dieu, pourquoi alors me faut-il expérimenter la vérité au milieu de tourments obscurs aussi brumeux ? J’explosai. Dans ma petite maison, je m’effondrai devant un petit meuble bas, et en mon tourment je commençai à en frapper du poing la surface: Je demande un signe, je demande un signe, un signe sûr, acceptable, qui rendra supportable mes tourments ! Avec une insolence épouvantable, j’exigeai de Dieu un signe tel que, avant d’avoir prononcé les mots, je m’esclaffais en moi-même : Ah ! Ce que maintenant je demande à Dieu, c’est sûr qu’Il ne pourra pas le faire. J’ai exigé qu’Il m’envoie un prêtre : celui qui, quelques fois déjà, m’a confessée mais qui, par la suite, cessa de le faire parce que ses obligations changèrent de telle sorte qu’il ne pouvait venir. Ainsi, donc, ce contact aussi s’est interrompu depuis il y a un an. Et cette personne, je l’ai exigée de Dieu. Si cette personne aujourd’hui, à midi pile, vient chez moi, je le prendrai comme un signe que la cause est authentique, et je l’accepterai.

Par la suite, comme quelqu’un qui a fait un bon travail, je me suis calmée, et je me mis en route pour aller à la sainte messe au Sanctuaire Mariaremete. En chemin, comme un sentiment de honte monta en mon cœur. Comment puis-je me comporter ainsi avec Dieu ? J’aurais voulu faire comme si les choses qui s’étaient passées n’étaient pas arrivées. Occupée à ces pensées, j’arrivai à l’église. Mes premiers pas me dirigèrent vers le confessionnal, et là je racontai au confesseur mon terrible état spirituel et mes disputes impertinentes avec Dieu. Mon confesseur me reprit vertement : Comment peut-on se comporter ainsi avec Dieu ? Et au lieu d’une pénitence, il me demanda de supplier le Seigneur Jésus afin que cette "tête dure" se convertisse enfin. (Une connaissance du confesseur, une personne insensible). -Avant de laisser le prie-Dieu du confessionnal, je n’ai pas pu résister à la tentation de dire au Père: -J’aimerais voir, si vous vous trouviez dans cet état d’âme, si vous ne discuteriez pas aussi avec Dieu ? Mais j’avais à peine prononcé ça, que je sortis du confessionnal et m’effondrai devant le Seigneur Jésus. Je ne pus dire rien d’autre que ce qui était ma pénitence : Mon adorable Jésus, convertis donc cette "tête dure"! Après avoir accompli la pénitence reçue, s’est dissipée en mon âme l’obscurité qui peu auparavant y régnait encore. Je retournai tranquillement à la maison, après la sainte messe et la communion, et je m’assis en ma petite pièce pour repriser les vêtements déchirés de mes trois petits-enfants, qui sont sous mes soins. Mon âme, dans la paix de Dieu, était occupée en ses pensées concernant le bon Dieu. Je ne me rappelai même plus de mon aveuglement de ce matin-là. Je l’oubliai complètement. Soudain, quelqu’un se plante à l’improviste devant la porte de ma petite habitation. Il actionne la poignée. Il frappe à la porte. -" Entrez !"– que je réponds. Au même moment, on sonnait l"Angelus". Il était midi. Et moi, presque figée sur place, j’ai demandai à celui qui entrait  pourquoi il venait ? Qui l’a appelé ?

C’était ce prêtre que ce matin-là, en riant en mon for intérieur, j’ai exigé de Dieu comme preuve, comme évidence. Quand je lui demandai : qui l’a envoyé ? Pourquoi il est venu ? Il m’a répondu qu’il ne le savait pas; il avait seulement ressenti une forte émotion intérieure, et il lui a fallu venir immédiatement. Après cela, naturellement, je l’ai informé en détail sur les faits antérieurs. -Je mentionne seulement entre parenthèse que cette "tête dure" pour laquelle il m’a fallu supplier comme pénitence, elle est revenue à Dieu.

DOUTES ET CRISES

Des doutes, semblables à ceux que je viens de raconter et d’exposer, se présentèrent sous les formes les plus diverses, s’agitèrent en mon âme et me tombèrent dessus durant des années. Ils ne cessèrent de se manifester même en mes 64 années de vie (en 1977). L’histoire d’un de mes plus graves doutes et d’une de mes plus graves crises, quant aux conséquences, je vous la révèle par ce qui suit : À une certaine occasion, alors que de forts doutes me saisirent, je recherchai encore une fois la tranquillité de l’âme. Pour pouvoir obtenir cette tranquillité, je me décidai à rétracter mes communications devant toutes ces personnes à qui j’avais déjà fait connaître les paroles, les messages du Seigneur Jésus et de la Sainte Vierge. Ce que j’ai décidé, je l’ai fait. J’ai rencontré douze prêtres hongrois. J’ai dit à chacun d’eux : ne croyez pas ce que je vous ai dit parce que tout ça est venu de moi, ce sont des mensonges inventés. En pleurant et en sanglotant, je leur ai demandé l’absolution. Eux, ils ont réagi et manifesté leur opinion de différentes façons. J’ai exprimé, sans rien cacher, que ce sont mes tourments atroces qui m’obligeaient à me rétracter, et j’ai dit, humblement prosternée jusqu’au sol, que je rétractais mes communications jusqu’à ce moment-là. Je les ai suppliés de me donner l’absolution générale conformément à la façon dont le bon Dieu voit les choses respectivement à ma personne.

La grande station de mon Calvaire, causé par le tourment de mes doutes, arriva quand, après m’être rétractée, je retournai, obligée par le Seigneur Jésus, voir mon confesseur et tous ceux devant qui j’avais rétracté les paroles du Seigneur Jésus et de la Sainte Vierge. La réponse qui m’est restée gravée fut celle qu’un des Pères formula ainsi :

-         « Puisque, après vous être rétractée, le Seigneur Jésus vous a parlé de nouveau, il n’y a pas de quoi avoir honte, parce que ça prouve avec la plus grande clarté que nous sommes face à la Volonté de Dieu ».

DEMANDE DE LA VIERGE: QUE NOUS JEÛNIONS LES LUNDIS 15 août 1980

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Le Seigneur Jésus et la Sainte Vierge m’ont parlé en alternant entre eux. La parole de la Sainte Vierge résonna avec une ferme mais bienveillante énergie en mon cœur. Elle demanda au clergé, aux personnes consacrées à Dieu (religieux, religieuses) et aux fidèles chrétiens du monde entier de jeûner, lorsqu’ils ont la possibilité de le faire, les lundis au pain et à l’eau. Le Seigneur Jésus :

-         « L’Église et le monde entier sont en danger grave, et vous, par vos forces, vous ne pouvez changer la situation. Seule la Très Sainte Trinité peut vous aider, par l’intercession concertée de la très Sainte Vierge, de tous les anges et de tous les saints, et des âmes libérées avec votre aide. »

Selon la communication de la Sainte Vierge :

-         « Les prêtres, s’ils observent le jeûne du lundi, en chacune des saintes messes qu’ils célèbreront cette semaine-là libéreront au moment de la Consécration, innombrablement (*) les âmes du purgatoire. Les personnes consacrées à Dieu et les laïques qui gardent le jeûne du lundi, libéreront au cours de cette semaine-là, chaque fois qu’ils communieront et au moment de recevoir le Corps Sacré du Seigneur, une foule d’âmes du purgatoire. (*)

Élisabeth demanda plus tard :

-         « Que signifie innombrablement ? Un millier, un million d’âmes ? »

 Jésus :

-         « Davantage ! »

 Élisabeth :

-         Mais au juste, combien ? »

Jésus :

-         «De nombreuses âmes, tellement que ça ne peut s’exprimer par des chiffres humains ! »

CONSEILS DE LA VIERGE SUR LE JEÛNE

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Ne souffrons pas de faim, mais mangeons du pain en abondance et buvons de l’eau ! Nous pouvons mettre du sel sur notre pain. Nous pouvons prendre des vitamines, des médicaments et ce qui est indispensable à notre condition, mais non pour se régaler. S.V :

-         « Ceux qui habituellement font jeûne, il leur est suffisant de le respecter jusqu’à six heures du soir. En ce cas, qu’ils récitent un rosaire de cinq mystères cette journée-là pour les âmes. »

REMARQUE : Pour voir quel moyen efficace nous avons dans le jeûne, nous en trouvons des exemples dans l‘Évangile. Pensons à l’action curative des disciples, en saint Marc 9, 14. Les Disciples de Jésus lui demandèrent : « Pourquoi nous, nous n’avons pas pu expulser ce démon ? » Lui leur dit : « Cette sorte de démon ne peut être chassée que par la prière et le jeûne » (9, 28). En ces temps-ci, cette espèce de démon veut miner les âmes.

IL EST URGENT DE FORMER DES COMMUNAUTÉS DE PRIÈRE RÉPARATRICE

1er janvier 1981

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 JC :

-         «Surpassez vos limites !  Regardez les trois Mages, quel sacrifice surhumain ils ont fait ! Eux, ils ont vraiment dépassé leurs limites. C’est ce que doit faire en premier lieu le clergé, de même que les personnes consacrées à Dieu et tous les croyants. (Nous devons intensifier au-delà de toute mesure habituelle nos prières et nos sacrifices pour la paix dans le monde et pour le salut des âmes. Nous devons atteindre des sommets.)

-         Dans toutes les paroisses, il faut organiser de toute urgence les communautés de prière réparatrice. Bénissez-vous les uns les autres par le signe de la croix ! (Aussi les étrangers). »

RÉNOVER LE TIERS-ORDRE DU CARMEL Mars 1981

Au printemps de 1981, au milieu de mars, la Sainte Vierge demanda de pousser auprès des personnes compétentes la restauration du Tiers Ordre du Carmel aux quatre coins du monde, le plus rapidement possible et dans le plus de lieux possibles, parce que l’humanité a besoin de laïques qui possèdent un esprit de prière. S.V :

-         « Comme la Flamme d’Amour de mon Cœur s’est allumée ici en Hongrie, pour cette raison je veux mettre en marche plusieurs de mes désirs à partir d’ici. L’humanité a besoin que ma demande soit accomplie avec le plus grand dévouement.»

Alors que la Sainte Vierge parlait du Carmel, Jésus l’a interrompue : JC :

-         «Parce que la Flamme d’Amour de ma Mère est l’Arche de Noé.»

Le Seigneur Jésus répéta cela à l’occasion de plusieurs de ses conversations aussi. Note : Rappelons-nous la promesse de la Sainte Vierge, selon laquelle elle étend les effets de grâce de sa FLAMME D’AMOUR à toutes les âmes qui sont marquées du signe de la croix bénite de son Divin Fils. Le signe de la Croix aveugle et chasse Satan de la même manière que la prière reçue de la Sainte Vierge : «Submergez de grâces l’humanité entière …» ou celle du Seigneur Jésus :

-         «Que nos pieds cheminent ensemble …» (Ces prières sont complètes en ce Journal spirituel et dans le guide du Rosaire de la Flamme d’Amour.)

NE PAS EMPÊCHER L’EFFUSION DE LA FLAMME D’AMOUR DE SE RÉPANDRE 12 avril 1981

Notre Très Sainte Mère nous demande en suppliant de faire en sorte qu’elle puisse donc répandre le plus tôt possible l’effusion de grâce de sa Flamme d’Amour sur l’humanité. Ne l’empêchons pas, parce que cela dépend aussi de nous ! Elles ont une grande responsabilité, toutes ces personnes qui empêchent ou font retarder de façon irresponsable cette effusion de grâces ! 20 novembre 1981 J’ai médité profondément les paroles du Seigneur Jésus et de la Sainte Vierge. À cause de ces paroles, la conscience de ma grande responsabilité pesait sur mon âme. Le Seigneur Jésus m’assura alors : JC :

-         «Ne crains pas ! Nous sommes à tes côtés. La grâce se répand en une mesure grandiose sur les âmes de tous ceux qui participent à mon Œuvre de Rédemption. Seulement, qu’ils ne tardent pas à accomplir nos demandes !»

GRANDE MOBILISATION DE PÉTITION AU SAINT-PÈRE 20 novembre 1981

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Ce jour-là, tandis que je préparais la nourriture pour les volailles, j’entendis les paroles du Seigneur Jésus et de la Sainte Vierge prononcées simultanément au fond de mon cœur : S.V.et J.C. :

-         «Nous te saluons. Nous savons que tu souffres beaucoup. Mais aujoud’hui, par ton intermédiaire, nous demandons au monde entier une grande mobilisation. Communique notre demande à ton directeur spirituel.

-         De toutes les parties du monde, que des multitudes de personnes envolent leur pétition au Saint-Père en sollicitant la déclaration officielle pour le monde entier de l’effusion de la Flamme d’Amour de Nos Deux cœurs. Nous ne demandons pas, de propos délibéré, un examen qui prendra du temps, comme Nous l’avons déjà indiqué en notre demande antérieure aussi. Tous la sentent en leur propre cœur, en leur âme. Notre demande est urgente-urgente. Il n’est plus temps de se permettre aucun délai. Que les fidèles ensemble avec les prêtres, en grand recueillement spirituel, satisfassent notre demande. L’effusion des grâces atteindra aussi les âmes des non-baptisés par son action.»

PRIEZ SANS CESSE LES UNS POUR LES AUTRES 12 décembre 1981

La Sainte Vierge dit :

-         «Ma petite et vous tous, mes enfants bien-aimés, soyez en alerte ! Satan veut arracher de sous vos pieds le sol de l’espérance. Il sait très bien que s’il réussit à faire ça, il aura tout enlevé à vos âmes : si vous perdez l’espérance, il n’a même plus besoin de vous inciter au péché. L’homme qui a perdu l’espérance est en terrible obscurité. Il ne voit déjà plus avec les yeux de la foi. Pour lui, toute vertu, tout ce qui est bon, perd sa valeur. O mes enfants, priez sans cesse les uns pour les autres! Permettez que l’effusion de mes grâces agisse en vos âmes !»

 

SOURCE : LES EDITIONS DU PARVIS

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